Dommages corporels en Israël et indemnités
L’indemnisation des victimes, qu’il s’agisse de l’indemnisation d’un accident de la route ou plus généralement de l’indemnisation de tous les accidents corporels, résulte toujours de la mise en place d’une procèdure amiable ou judiciaire. Il est donc indispensable, pour la réparation d’un préjudice corporelet pour permettre une meilleure aide aux victimes; que celles-ci soient assistées par un avocat spécialisé dans la réparation du dommage corporel, titulaire d’une maîtrise de l’indemnisation corporelle.
Notre équipe d’experts médicaux examinera et évaluera le préjudice corporel subi par la victime. En l’attente de la fixation définitive du dommage,nous pouvons rapidement solliciter des provisions au profit de la victime et de sa famille
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Blessure grave
Pour une personne grièvement blessée par les tirs d’un gardien dont le comportement problématique avait été signalé à la police ; celle-ci n’ayant rien fait pour lui retirer son arme.
Notre cabinet a obtenu devant la Cour Suprême Israélienne plusieurs décisions faisant jurisprudence.La dernière en date a été prononcée le 3 décembre 2015.
Celle-ci change totalement le calcul des indemnités en faveur des victimes dans les cas de perte des chances de guérison.
12 millions de shekels pour un soldat de 19 ans souffrant de paralysie des bras et d’une grave atteinte cérébrale à la suite d’un accident de la route.
7 millions de shekels pour une personne grièvement blessée par les tirs d’un gardien dont le comportement problématique avait été signalé à la police ; celle-ci n’ayant rien fait pour lui retirer son arme.
4 millions de shekels dans le cas d’un enfant souffrant de graves handicaps, les médecins n’ayant pas détecté durant la grossesse un mauvais développement d’une partie essentielle du cerveau.
4 millions de shekels pour un enfant né prématuré (28 semaines), le médecin traitant n’ayant pas tenu compte du fait que la mère s’était plainte de nombreux saignements au cours du 2eme trimestre de grossesse.
3 millions de shekels pour l’époux et les 2 enfants d’une jeune femme de 34 ans, le médecin traitant n’ayant pas diagnostiqué un cancer du sein, et ceci en dépit d’une série de signes suspects.